Les rues pavées de Rome résonnaient marqué par les pas pressés du monde, un tumulte constant où se mêlaient cris de marchands et ordres des légionnaires. La cité était un théâtre de dignité et d’intrigues, où la voyance trouvait une sa place dans les recoins les plus obscurs des temples et des palais. Les augures lisaient l’avenir dans le arnaque des oiseaux, tandis que les haruspices scrutaient les entrailles des animaux de compagnie sacrifiées pour décoder les vœux divines. La voyance était omniprésente, inscrite dans le marbre des édifices et gravée dans l'enseignement du monde. Au cœur de cette effervescence, un scribe du Sénat, Marcus Flavius, consacrait ses évènements à marquer les décisions des gens les plus considérables de Rome. Son poste était dégagé : se dessiner des tablettes de cire, y placer les normes et les discussions, puis réverbérer ces semi-précieuses archives aux archivistes du Capitole. Pourtant, pendant quatre ou cinq semaines, une chose étrange bouleversait son journalier. Chaque matin, une plaque pure apparaissait sur son bureau, gravée d'expressions qu’il n’avait jamais tracés. La voyance semblait s’être infiltrée dans son encre, dictant des présages dont il ne comprenait toujours pas la portée. Les symboles étaient inexplicables, souvent cryptiques, mais grandement empreints d’une agitation perspicace. La voyance, par-dessous cette forme inattendue, s’invitait dans ses documents avec une minutie troublante. Ce qui au début ressemblait à des coïncidences devint naturellement un vertige insoutenable. Les premières prédictions concernaient des résolutions du Sénat, des transformations suivante et des anneaux humaines. Mais bientôt, la voyance dépassa le contexte des friperie publiques pour s’immiscer dans sa intime être. Marcus Flavius s'aperçut que la voyance n’était non exclusivement une discipline pratiqué par les astrologues officiels. Elle s’exprimait marqué par d’autres formes, de temps à autre discrètes, relativement souvent impénétrables. L’apparition de ces tablettes gravées d’avance lui imposait une axiome : il était devenu le messager d’une puissance qui lui échappait. La voyance, par ces inscriptions sans identités, lui procurait un savoir interdit, une fenêtre sur l’avenir que aucun autre ne possédait. Les prédictions commencèrent à se confirmer. Ce qui était rédigé sur les tablettes se réalisait avec une régularité effrayante. La voyance ne laissait aucune vie au fatum, tels que si l'horizon lui-même avait déjà persisté conçus dans la cire premier plan que les des fêtes ne surviennent. Marcus Flavius tenta de comprendre l’origine de ce phénomène, mais plus il cherchait, plus la voyance l’enveloppait dans un étoffe de iceberg. Une nuit, tandis que Rome s’endormait par-dessous la illumination des torches, il observa la plaquette de 100g laissée sur son bureau. La voyance s’y exprimait une fois de plus avec une netteté redoutable. Cette fois, il ne s’agissait plus de politique ni d’affaires d’État. La plaque annonçait sa qui vous est personnelle disparition. L’avertissement était exposé en lettres précises, sans la moindre indice d’hésitation. La voyance lui révélait une existence qu’il ne voulait pas piger, une issue qu’il aurait préféré ignorer. Pourtant, il savait que ces prédictions ne s’étaient jamais trompées. La voyance était une valeur infaillible, une flagrance gravée bien évident que les clients ne soient en mesure de la pénétrer. Il se leva mollement, l’esprit en proie à une trac qu’il n’avait jamais ressentie au préalable. La voyance ne lui avait pas existé concédée sans prétexte. Si elle lui avait brevets de voir le futur des divergents, c’était pour mieux lui montrer que nul ne pouvait se rétablir à notre futur. Marcus Flavius s'aperçut tandis que la voyance ne se limitait pas à prédire l’avenir. Elle le façonnait, le dictait avec une rigueur infaillible. Ce qu’il avait lu sur cette tablette n’était pas une dévouement, mais une réalité. Il était dès maintenant prisonnier d’un avenir déjà écrit, et la seule pas qui demeurait était de posséder la maitrise de alors que cet futur s’accomplirait. La nuit s’étira dans un silence pesant, et Rome, indifférente à son angoisse, continuait de briller marqué par les étoiles. La voyance avait parlé, et il savait qu’il ne lui restait plus qu’à attendre que l’inévitable se produise.
Le soleil s’élevait lentement au-dessus des temples de Rome, projetant des obscurcissements mouvantes sur les façades des édifices de marbre. Le Sénat bourdonnait d’une remue-ménage feutrée, les polémiques s’entrecroisant dans un écho d'initiatives et de stratégies. Mais au centre de cette effervescence, Marcus Flavius se sentait étrangement indolent, comme par exemple si la réalité elle-même s’effaçait qui entourent lui. La voyance, qui jusqu’alors lui avait semblé un effet extérieure, s’était insinuée dans n'importe quel recoin de ses chakras, dictant la célérité de ses idées et le poids de ses mouvements. Le déroulement du jour paraissait faire un transposition invisible, une suite d’événements qu’il avait l’impression d’avoir déjà vécus. Chaque mot prononcé par ses relations trouvait un écho dans les prédictions gravées sur la plaquette de 100g laissée sur son bureau. La voyance ne s’était pas contentée d’annoncer sa disparition ; elle lui montrait le cours avec raison des moments douloureux qui s’écoulaient évident l’inéluctable. Il observa les sénateurs autour de lui, leurs figures illuminés par l'admiration du fâcherie, ignorant que le futur était par contre déjà réalisés quelque part, attendant uniquement son instant pour s’accomplir. La voyance, dans sa froide indifférence, lui faisait assimiler qu’il n’était qu’un protagoniste d’un théâtre avec lequel le arrangement avait compté mail bien avant lui. Pourtant, une avis l’obsédait : s’il savait solide de quelle façon la lumière allait s’achever, pouvait-il en remanier la suite ? L’angoisse ne l’avait pas quitté depuis qu’il avait lu l’avertissement sur la plaque. Mais aujourd'hui, elle se transformait en une autre forme de tension, plus insidieuse. La voyance lui procurait une connaissance terrifiante : celle de voir évacuer ce qui ne pouvait sembler évité. Un perception, aussi instantané qu’un frisson dans l’air amorphe, lui soufflait que le moment approchait. Le bruit d’un frappe de encaustique brisé retentit dans la majeure foule. Un messager du Sénat entra, tenant un rouleau marqué d’un honoraires impérial. La missive était brève, mais vaniteuse pour reproduire saillir une onde de murmures entre les sénateurs. Un complot avait subsisté déclaré dans les cercles du présent, et un grand nombre de noms figuraient sur une optique que seuls huit ou 9 privilégiés avaient le droit de genie lire. Marcus Flavius sentit son intelligence se visser une période. La voyance ne lui avait pas offert tous les détails de ce qui allait se produire, mais il comprenait que son patronyme était transcrit là où il ne devait pas l’être. Une prédiction qui, à cet pendants, devenait une talion. Les heures s’écoulèrent dans une lenteur oppressante. L’après-midi laissait vie à un crépuscule teinté d’or et de incarnat, et pourtant, le cours du sort ne s’était pas encore accompli. La voyance le maintenait dans ce ressenti d’attente, un équilibre précaire entre les grandes convictions et l’incertitude. Alors qu’il quittait le Sénat, un silence anormal s’installa autour de lui. Les rues, si bruyantes en vie, semblaient avoir perdu leur clameur habituelle. Il savait que ce silence n’était pas anodin. La voyance n’avait pas menti. Ce n’était pas un hasard, mais un prélude à ce qui devait concerner. Ses pas le conduisirent instinctivement poétique une ruelle qu’il n’empruntait jamais. Une impasse bordée de murs en pierre où la clarté déclinante dessinait des ombres inquiétantes. Il s'aperçut tandis que, malgré ses pensées, il avait soutenu correctement le chemin tracé par la voyance. Le futur ne pouvait être détourné. Il n’avait jamais eu la possibilité de choisir. Et alors que l'obscurité s’étendait sur Rome, il s'aperçut pour finir la certitude la plus impitoyable de toutes : la voyance n’avait jamais cherché à le éclairer pour l’aider à traiter à son futur. Elle l’avait uniquement préparé à l’accepter.